Les pâtissiers

©

 Les chefs formateurs de l'École Nationale Supérieure de Pâtisserie signent pour chaque numéro de Thuriès Magazine trois recettes. 

Fabien Berteau
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

Ses parents restaurateurs à La Borne Impériale à Saulieu lui ont communiqué le goût de faire plaisir à travers la gastronomie. Toutefois, c’est vers la pâtisserie que Fabien Berteau s’est tourné.

Fort d’un CAP-BEP en pâtisserie, il enchaîne les grandes maisons en restauration. Sa première expérience s’est effectuée auprès de Jacques Chibois, où il intégre la brigade sucrée de Philippe Chapon au restaurant Guy Savoy à Paris.

Yannick Delpech
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

​Si Yannick Delpech est né à Albi, le 6 janvier 1976, c’est à Lagrave qu’il grandit, une petite bourgade située près de Gaillac. Ses parents sont viticulteurs. Lui, il se destine à la pâtisserie et il commence sa carrière à l’âge de 14 ans, auprès de Michel Belin basé sur Albi.

Pierre Marcolini
© Nicolas Buisson

Pierre Marcolini est né le 12 juillet 1964 en Belgique, à Charleroi plus exactement. Il est issu d’une famille italienne originaire de Vérone. Dès ses quatorze ans, le jeune Pierre Marcolini le sait : sa vie, il la vouera au chocolat… Sa réussite fut aussi instantanée que sa vocation et ses premiers pas, il les fait en pâtisserie, en Belgique, dans une petite boutique avec un atelier de 30 m2 à Kraainem.

Olivier Bajard

Pâtissier, chocolatier, glacier, Olivier Bajard est né le 21 octobre 1965 dans une famille de pâtissiers à Poitiers. Sa vocation Une vocation se révèle très tôt au contact de son père. Olivier Bajard a alors quatre ans.

Le jeune Olivier commence par un apprentissage en 1981, à plus de quatre cents kilomètres de la ville de son enfance, en Seine-et-Loire, à la pâtisserie Château-Groison de Montceau-les-Mines. Une fois le CAP en poche, il arrive à Roanne où il intègre la Maison Pilati en tant...

Christophe Michalak
© Stéphane de Bourgies

On ne présente plus Christophe Michalak, ce sémillant chef pâtissier, vainqueur en 2005 de la coupe du monde de la pâtisserie. Il est l’un des dignes successeurs de Gaston Lenôtre, Pierre Hermé, Philippe Conticini… Puis d’autres… Tous ceux grâce à qui la pâtisserie a pris le devant de la scène, et dont Christophe Michalak s’est inspiré.

Nina Métayer, chef pâtissier Le Grand Restaurant
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

Née à La Rochelle, Nina Métayer grandit au sein d’une famille de gourmands, adepte de bons produits. C’est lors d’un voyage en Amérique du Sud que son destin « bascule » ou plutôt que sa vision sur l’avenir se précise. Elle a tout juste seize ans, effectue un séjour linguistique d’une année au Mexique et rencontre un couple de Français qui avait créé une boulangerie pâtisserie dans ce lointain pays. Ils sympathisent, Nina partage une nuit de travail avec ses nouveaux amis, c’est la révélation.

Jérôme de Oliveira - Pâtisseries Intuitions
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

Intuitions… comme une évidence, une spontanéité…

Serait-ce cette intuition qui guide Jérôme de Oliveira dans la création de pâtisseries lorsqu’elles sont classiques et revisitées, ou plus originales… Tout en gardant le souci du goût et de l’esthétique.

Maëlig Georgelin - Au Petit Prince
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

Au Petit Prince… Royaume de la gourmandise en terre bretonne.

Après avoir fait ses classes dans des grandes maisons en France et à l’étranger, Maëlig Georgelin, petit prince breton de la pâtisserie et du chocolat, est revenu aux sources. En 2009, il s’associe avec sa sœur Émeline. Ensemble, ils créent leur première boutique : Au Petit Prince.

Sébastien Bouillet
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

C’est au-delà des ruelles pentues de La Croix-Rousse à Lyon que l’on trouve la Maison Bouillet. Henri, le père, a choisi ce quartier de la cité des Gones pour s’établir il y a presque quarante ans. Ses pâtisseries et ses chocolats ont vite conquis le cœur des gourmands.

Nicolas Bacheyre
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

Un Dimanche à Paris… Un concept-store autour du chocolat, sous toutes ses textures, ses formes et ses couleurs… Une idée issue de l’imagination de Pierre Cluizel, le fondateur de la maison et fils du chocolatier Michel Cluizel.

Très jeune, Nicolas Bacheyre a su que son avenir était dans la pâtisserie. Petit-fils et fils de boulanger-pâtissier, il passait son temps libre au labo avec son père, Jean-Louis, « autodidacte, vice champion des boulangers et champion d’Europe. »

Christophe Gasper
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

Avec des grands-parents et des parents pâtissiers en boutique, on peut dire d’une certaine façon, que Christophe Gasper a toujours baigné dans l’univers du sucré.

Après son brevet de maîtrise, il travaille en boutique. Mais il s’ennuie, il se réoriente donc vers la pâtisserie de restauration en faisant des saisons, au Bistrot des Lices à Saint-Tropez, à La Table du Marché à Courchevel, au Chabichou pendant sept ans avec Michel Rochedy, puis il rejoint Régis Marcon. En découvrant cette autre facette du métier, il s’épanouit.

Guillaume Pigot
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

Le métier de pâtissier ne résonnait pas comme une évidence aux oreilles du jeune Guillaume lorsqu’il est sorti du Lycée hôtelier de Mazamet. Après un bac pro en hôtellerie-restauration, il a tout de même préparé une mention complémentaire en pâtisserie, manière de : le sucré déjà le titillait. Son premier emploi fut pour le Château de Salettes à Cahuzac (81) qui recevra son étoile quelques années plus tard. Après 18 mois au Château de Sallettes, Guillaume Pigot rejoint un...

Patrice Ibarboure
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

Patrice, c’est l’art du sucré. Il aborde la pâtisserie comme un challenge, toujours à la recherche d’idées pour ses desserts et ses créations en sucre.

Tout comme son frère Xabi, Patrice Ibarboure a été élevé aux sons des casseroles. Après un BEP cuisine à l’École hôtelière de Biarritz et une mention pâtisserie, il monte à Paris. Il apprend ses bases chez Fauchon avec Christophe Adam.

François Perret
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

Avec une profonde gentillesse, une grande bienveillance et une intransigeante absolue, François Perret signe de son sceau l’univers sucré du Ritz depuis 5 ans. Avec ses pâtisseries en trompe l’oeil, il a inscrit le palace de la place Vendôme dans le carnet d’adresses de tous les becs-sucrés. Ses créations attirent les gourmets mais forcent également le respect de ses pairs, qui à l’unanimité louent son talent. Et si son visage était connu des initiés, il s’est désormais dévoilé à un public plus large depuis sa participation au documentaire «The Chef in a Truck» diffusé avant l’été sur Netflix.
Entretien...

Hugues Pouget

​L’un des rares pâtissiers issu d’une maison triplement étoilée à ouvrir sa maison parisienne Hugo & Victor, Hugues Pouget transcende les saveurs.

Lillian Bonnefoi, chef pâtissier de l'Hôtel du Cap-Eden-Roc à Antibes
© Thuries Magazine/Pascal Lattes

Lilian Bonnefoi a obtenu son premier poste de chef pâtissier dès l’âge de 23 ans. La pâtisserie et particulièrement la pâtisserie de restaurant s’est imposée comme une évidence au tout début de sa carrière chez Jean et Pierre Troisgros. « Mon oncle était le fleuriste attitré des Troisgros. J’avais neuf ans et tous les mercredis matin, je l’aidais à faire ses compositions dans le laboratoire de pâtisserie qu’on mettait à notre disposition ».

Cédric Grolet, chef pâtissier au Meurice
©Thuries Magazine/Pascal Lattes

L’histoire a commencé à Firminy, tout près de Saint-Étienne. Dans la famille Grolet, naissait un petit garçon qui, très vite, traîna ses guêtres côté pâtisserie, dans l’hôtel-restaurant de ses grands-parents. Puis, dès l’âge de onze ans, il fait ses petits gâteaux… Rapidement, le registre s’agrandit : flans, crèmes brûlées, brioches… tout cela lui provoque des visions enthousiasmantes. Il s’imagine pâtissier ! Il le clame vite, haut et fort.

Christophe Adam, L'Éclair de Génie
© Laurent Fau

Après un apprentissage en boutique à Quimper, Christophe Adam rejoint Le Gavroche des frères Roux en Angleterre. Le jeune pâtissier conçoit à cette époque tout l’impact visuel de la pâtisserie et son pouvoir de séduction.

Jean-Paul Hévin

Avec Jean-Paul Hévin, pas de chabadabada, que du chocolat : une valeur sûre. « Une matière première d’exception », dit-il, et qui, pourtant, à y regarder de plus près n’est, à la base qu’une masse sombre et liquide. Et si l’art du chocolatier est d’apporter de la lumière dans l’ombre, Jean-Paul Hévin excelle en la matière…

Pages

S'abonner à un magazine de référence

 

 

Thuriès Magazine
Abonnez-vous !

Recevez chez vous vos 9 magazines par an et bénéficiez d'un accès exclusif à votre espace abonnés incluant :

-Des milliers de recettes de plus de 350 chefs avec leurs procédés détaillés (avec moteur de recherche multi-critère)

-Vos magazines en version numérique (PDF & Visionneuse) pour nous suivre sur tablettes et smartphones

-La galerie photo de nos reportages

 

Je m'Abonne !