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Il y a des tables qui ne laissent pas indifférent. Hakuba en fait partie. Ouverte au mois de mars 2025, au rez-de-chaussée de l’hôtel Cheval Blanc Paris, Hakuba garantit, à peine le seuil franchi, une immersion dans ce que la tradition japonaise a de plus poétique. Comme au Japon, le client s’installe au comptoir et assiste, dans une totale quiétude, à la préparation des plats et des bouchées qu’il va être amené à déguster. Le moment passé est hors du temps, les papilles en éveil constant, le voyage gustatif est remarquable. Guidé par le chef dans un menu Omakase, les assiettes s’enchaînent...

Les 110 de Taillevent font référence au nombre de vins que l’établissement propose à la dégustation au verre. Ce qui en fait un restaurant à part, surtout si on y ajoute un livre de cave de 2 000 références. Attention, les 110 vins ne sont pas disponibles en même temps. Néanmoins, chaque plat de la carte est proposé avec quatre accords de vins au verre. La carte fait la part belle à la cuisine bourgeoise, et notamment aux « feuilletés et aux croûtes ». Un pâté en croûte y figure toujours, tout comme le vol-au-vent, signature de la maison qui se décline au rythme des saisons. Parmi les plats...

Cette table du 18e est l’interprétation parisienne de l’izakaya japonaise. Ici, peu de tables, mais un grand comptoir qui court jusqu’aux cuisines ouvertes, laissant ainsi l’opportunité de directement récupérer ses assiettes. Le chef a bourlingué, de Mulhouse (ses origines) en Corée, son dernier voyage. Formé à l’architecture, il découvre la cuisine en Nouvelle-Zélande et décide finalement d’en faire son métier. Après s’être essayé à la restauration itinérante, il exercera dans le domaine de l’évènementiel et participera notamment à l’ouverture de Ventrus, table écoresponsable et éphémère,...

En Amérique latine, une finca est une maison agricole traditionnelle, parfois transformée en résidence secondaire, comme un lieu de vie, de partage… Et c’est cet esprit que le chef colombien Esteban Salazar a voulu insuffler à cette adresse de la rue des Gravilliers dans le 3e arrondissement de Paris. Dans cet espace singulier aux murs de briques ocre, avec son grand puits de lumière et sa cuisine ouverte aux carreaux de carrelage bleu nuit, le chef compose son menu avec la volonté de mettre à l’honneur les différentes régions de sa terre natale : les Caraïbes, les Andes, le Pacifique, les...

Il est l’un des pâtissiers les plus créatifs de sa génération. Après un parcours dans de prestigieuses maisons, Maxence Barbot est, depuis le 5 mai 2025, le nouveau chef pâtissier de l’hôtel Le Bristol, mythique établissement parisien qui fête cette année son centenaire. Le pâtissier n’est là que depuis quelques mois, mais ses créations, à l’image de son flan, ont déjà fait le tour des réseaux.

Plus qu’un cuisinier, Mathias Dandine est1 un restaurateur dans l’âme, un aubergiste animé par l’envie d’accueillir ses clients dans sa maison qu’il voit comme un véritable lieu de vie. Une maison de famille installée dans une superbe bâtisse du XVIIIe siècle à une encablure du centre de Gémenos, petit village provençal proche d’Aubagne.

L’ancien bistrot Loiseau des Sens, initialement installé au-dessus du spa du Relais Bernard Loiseau, a désormais migré dans la Tour d’Auxois, hôtel de charme acquis par le groupe en 2022. Loiseau du Morvan, avec ses tomettes traditionnelles, ses dalles bourguignonnes, ses poutres apparentes et ses grandes baies offrant une vue imprenable sur le jardin, se veut un lieu convivial ancré dans sa région. Les plats sont ceux du terroir, comme les œufs en meurette, le jambon persillé, ou des classiques comme le poulet Gaston Gérard. Les desserts sont préparés d’après les recettes du Relais Bernard...

Depuis ce début d’année, la Villa9Trois accueille un nouveau chef. Sylvain Grosjean, Marseillais d’origine, s’est installé à Paris pour reprendre les rênes de cet établissement basé entre Montreuil et Bagnolet. Outre le cachet de sa salle intérieure, le patio du restaurant offre, lorsque les températures sont douces, d’agréables déjeuners ou dîners avec un air de campagne. Lorsque le chef sert en amuse-bouche une tartelette de tarama, puis en mise en bouche une anchoïade, il marque aux prémices du repas ses origines méditerranéennes. Ses assiettes oscillent ensuite entre végétal et produits...

Ce comptoir, ouvert il y a maintenant dix ans, est un hommage à l’arrière-grand-mère du chef Arnaud Viel. Dans cet établissement du centre-ville d’Argentan, l’ambiance est à la convivialité. Outre le portrait de son aïeule accroché au mur, de multiples photos donnent au lieu son esprit de maison de famille. C’est d’ailleurs Cécilia, l’épouse du chef, qui s’est chargée de la décoration, optant pour des luminaires épurés et de grandes banquettes façon bistrot. À la carte, des plats d’inspiration sarde, ceux que son arrière-grand-mère lui préparait lorsqu’il était enfant, lasagne et pâte fraîche...