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LA TABLE DU CHÂTEAU DE PAVIE À SAINT-ÉMILION Arrivé au Château Pavie comme adjoint de Ronan Kervarrec en 2019, Sébastien Faramond est désormais le chef de cuisine de Yannick Alléno dans cet établissement doublement étoilé de Saint-Émilion. Dans l’élégante salle du restaurant, le client découvre des assiettes où le terroir s’exprime avec intensité et une incroyable modernité.
Dans ce numéro spécial anniversaire de 35 ans de notre Magazine Thuriès, une rubrique dédiée aux "Recettes Sucrées d'Hier et d'Aujourd'hui" vous invite à un festin sucré, une véritable rétrospective gustative où les anciennes recettes sucrées des pâtissiers, autrefois publiées dans nos pages, reprennent vie.
En cette célébration marquante de nos 35 ans, le Magazine Thuriès vous convie à un voyage à travers le temps. Découvrez les "Recettes Salées d'Hier et d'Aujourd'hui", une immersion dans le passé et le présent, où les chefs emblématiques revisitent leurs créations d'antan.
Le restaurant Cléo appartient à ces lieux intimistes où l’on peut s’attabler pour déjeuner ou dîner. L’ancien Top Chef Bruno Aubin conçoit la carte du restaurant de l’hôtel Le Narcisse Blanc avec des plats simples, souvent marqués par les épices dont il aime signer ses assiettes.
Installé au 8e étage de l’Hôtel de Paris Monte-Carlo, Le Grill, une étoile Michelin, offre une vue panoramique sur la principauté et les côtes italiennes à l’horizon.
Après avoir cuisiné pour l’emblématique restaurant Drouant, le trentenaire a fait le choix de s’installer, motivé par l’envie de tout décider ; aussi bien de la décoration, de la carte, que des horaires d’ouverture.
Posé à fleur d’eau, l’ancien hôtel Richelieu et son style Art déco revit sous l’impulsion de Frédéric Biousse et Guillaume Foucher, fondateurs du groupe Domaine de Fontenille.
Longtemps installée dans le quartier des Champs-Élysées, l’une des plus belles tables italiennes de la capitale a déménagé rive gauche, pour s’installer face au jardin des Invalides.
Longtemps second du chef Hervé Rodriguez dans son restaurant MASA, d’abord dans le 17e arrondissement parisien puis à Boulogne-Billancourt, Anthony Detemmermann a choisi la Mayenne pour s’installer avec son épouse, dans une authentique auberge.
Ce restaurant situé au 15, rue Richelieu s’est d’abord appelé Tamara, prénom de la grand-mère de la propriétaire des lieux, avant que son chef Clément Vergeat décide, une fois bien installé, de renommer son restaurant Tracé au mois d’août 2023.
Shirvan, café métisse, porte bien son nom. Car c’est bien d’un métissage dont naissent les assiettes colorées et parfumées du chef Akrame Benallal. Cette cuisine, inspirée par la route de la soie, invite au partage…
Martin Dumas a ouvert en 2020 ce charmant bistro du centre-ville de Limoges avec son épouse Jovana. Formé auprès de Gilles Dudognon à Limoges, puis à l’Atelier Robuchon, Fauchon et Ghislaine Arabian à Paris, ce Limougeaud a choisi en ouvrant son établissement de proposer une cuisine bistronomique axée autour du produit.
PÂTISSERIE ÉTIENNE CULOT À GRENOBLE Installé depuis 10 ans avec son épouse Margot dans cette pâtisserie du quartier Championnet à Grenoble, Étienne Culot s’appuie sur le produit et la saison pour élaborer une gamme de gâteaux, notamment composée d’éphémères. Des pâtisseries qui optimisent les productions saisonnières et permettent ainsi de donner un vrai dynamisme à une gamme qui se renouvelle sans cesse.».
MADAME CACAO À PARIS Durant 16 ans, Christelle Brua a contribué à la destinée sucrée du Pré Catelan auprès de son ami et mentor Frédéric Anton. Elle s’est ensuite installée au Palais de l’Élysée par amitié pour Guillaume Gomez, alors chef des cuisines. Après 3 ans sous les ors de la République, la plus discrète de nos pâtissières et l’une des plus talentueuses s’est lancée le 7 avril dernier dans une nouvelle aventure. Quittant au moins un temps la pâtisserie, elle se consacre désormais en toute liberté au cacao.
LA BOUITTE À SAINT-MARTIN-DE-BELLEVILLE Anaëlle Robelet, à l’entendre, ne pouvait trouver meilleure maison pour prendre sa première place de cheffe. Elle possède en effet cette rigueur et cette exigence du détail propres au travail de Maxime et René Meilleur. Elle aime l’intensité du service, la remise en question permanente, la singularité de cette maison familiale au sein de laquelle elle a très vite trouvé sa place.
LA BOUITTE À SAINT-MARTIN-DE-BELLEVILLE Après plus de 25 ans de collaboration, Maxime Meilleur reprend les rênes de cette maison fondée par son père René en 1976. Le patriarche ne quitte pour autant pas les cuisines. Fidèle au poste à chaque service, mû par une indéfectible passion de cuisinier et peut-être plus encore d’aubergiste, oeuvrant au quotidien pour préserver cet esprit de famille si cher à La Bouitte .
LE JARDIN DES SENS À MONTPELLIER Sept ans après avoir éteint les fourneaux de leur table historique, les Frères Pourcel se sont relancés dans la haute gastronomie en ouvrant leur nouveau Jardin des Sens au coeur de l’ancienne mairie de Montpellier. Fidèles à leur attachement au terroir languedocien, toujours aussi complémentaires, Laurent virtuose des fourneaux et Jacques de plus en plus en salle, le binôme propose une cuisine d’auteurs, empreinte d’accents méditerranéens, dans l’écrin tout à sa mesure de l’ Hôtel Richer de Belleval .
Après une formation auprès de la star locale de la gastronomie, Christopher Coutanceau, puis au Bristol et enfin chez Potel & Chabot à Paris, le Rochelais Théo Chereau signe un retour gagnant dans la ville blanche. À seulement 26 ans, et après des premiers pas d’entrepreneur aux Halles, il s’illustre désormais dans sa boutique éponyme du centre-ville au travers de créations alliant selon ses mots « le sens du beau et le goût du bon ».
RESTAURANT LA SOURCE À SAINT-GALMIER Antoine Bergeron, et c’est le moins qu’on puisse dire, est attaché à son terroir. Le cuisinier accepterait même facilement d’être taxé de chauvinisme. Au restaurant La Source, il compose des assiettes plutôt minimalistes à base d’ingrédients locaux, sans toutefois se restreindre si le besoin s’en fait sentir. Sa cuisine est concentrée sur les produits et sur le goût.
LE MEURICE ALAIN DUCASSE À PARIS À 35 ans, Amaury Bouhours est le chef des cuisines de l’un des plus prestigieux palaces parisiens. Alain Ducasse lui accorde une totale confiance et le trentenaire s’implique pour être à la hauteur de la tâche. Rigoureux, exigeant, attentif aux moindres détails, il s’applique chaque jour à dresser des assiettes aux aspérités assumées. Loin de vouloir bousculer le client, il veut lui faire vivre un moment unique, en espérant lui laisser le meilleur souvenir possible.

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